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L'importance d'un bon CCTP

L’importance d’un bon CCTP

En Bref Le CCTP est composé de plusieurs parties, chacune ayant une utilité spécifique pour le projet de construction. Voici les principales pièces qui composent le CCTP : La présentation générale : qui décrit le projet de construction et les objectifs du CCTP. Le descriptif des travaux : qui précise les caractéristiques techniques des travaux à réaliser. Les clauses techniques générales : qui fixent les normes et les règles à respecter pour l’exécution des travaux. Les clauses techniques particulières : qui détaillent les exigences spécifiques du projet en matièrede matériaux, d’équipements et de techniques de construction. Les pièces graphiques : qui illustrent les plans, les dessins et les schémas nécessaires à la réalisationdes travaux. Les annexes : qui contiennent les documents annexes nécessaires à la réalisation du projet, tels que les attestations d’assurance, les garanties, les certifications, etc. Chacune de ces pièces a une utilité spécifique pour le projet de construction et est essentielle pour garantir la qualité des travaux et la satisfaction du maître d’ouvrage.  Le Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) est un document crucial pour les projets de construction en France. Ce document décrit les caractéristiques techniques et les exigences du projet, ainsi que les méthodes d’exécution et les normes à respecter. Un bon CCTP est essentiel pour s’assurer que les travaux sont effectués conformément aux attentes du maître d’ouvrage et pour garantir que le projet est livré dans les délais impartis et dans le respect du budget. Dans cet article, nous verrons l’importance d’un bon CCTP pour les projets de construction en France. Un bon CCTP est un outil pour se faire comprendre  Un bon CCTP permet de garantir une bonne communication entre les parties prenantes du projet, notamment le maître d’ouvrage, les architectes, les ingénieurs et les entrepreneurs. Il fournit des informations claires sur les matériaux, les équipements et les techniques de construction à utiliser pour réaliser le projet. Cela permet à chaque partie prenante de comprendre exactement ce qui est attendu d’eux et de prendre les mesures nécessaires pour s’assurer que le projet est exécuté correctement. Un bon CCTP est une garantie de qualité  Le CCTP est également important pour garantir la qualité des travaux. En spécifiant les normes de qualité à respecter, les matériaux à utiliser et les techniques de construction à suivre, il s’assure que les travaux sont effectués conformément aux normes en vigueur. Cela est particulièrement important dans le cas des projets de construction de bâtiments publics tels que les hôpitaux, les écoles ou les administrations. Dans ces cas-là, la sécurité et la qualité des travaux sont des priorités absolues.  Un bon CCTP évite les dérapages budgétaires Un CCTP détaillé et précis est également essentiel pour établir un budget réaliste pour le projet. En définissant clairement les matériaux, les équipements et les techniques de construction à utiliser, il permet d’estimer avec précision les coûts associés à chaque aspect du projet. Cela permet au maître d’ouvrage de budgétiser efficacement le projet et de s’assurer qu’il dispose des ressources nécessaires pour le réaliser. Un bon CCTP réduit les désaccords  Enfin, un CCTP bien rédigé permet de minimiser les risques de litige entre les parties prenantes du projet. En spécifiant clairement les attentes de chacune des parties, il réduit les risques de désaccord ou de malentendu. En cas de litige, le CCTP peut être utilisé comme référence pour résoudre le différend de manière amiable. Conclusion Malgré son importance, il est important de noter que la rédaction d’un CCTP n’est pas une tâche facile. Elle nécessite une connaissance approfondie des normes de construction en vigueur, ainsi qu’une compréhension des matériaux, des équipements et des techniques de construction utilisés. C’est pourquoi il est souvent recommandé de faire appel à un expert pour rédiger le CCTP. Un professionnel du bâtiment comme un maître d’œuvre par exemple est en mesure de comprendre les besoins du maître d’ouvrage et de rédiger un document clair et précis qui répond à ses attentes. Il est également important de noter que le CCTP doit être constamment mis à jour et révisé tout au long du projet. Cela permet de s’assurer que les changements apportés sont partagés par l’ensemble des acteurs. Ce document est obligatoire dans le cadre des marchés public. Dans le cadre des marchés privés le CCTP n’est pas obligatoire et dépendra de l’accord convenu entre les différents partis.

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En bref : Quelles autorisations pour quels travaux dans un ERP ?

En bref : les différentes autorisations en fonction de vos travaux Au vu de la complexité du système normatif et du nombre de lois important en France on a vite fait de se demander si l’on respecte la loi et de se poser la question suivante : Quelles autorisations obtenir pour quels travaux dans un ERP ? 1.    Le permis de construire pour les travaux de construction Si vous envisagez de réaliser des travaux de construction ou d’extension de surface pour des bâtiments type ERP ou bien si vous souhaitez changer l’usage d’un bâtiment pour le transformer en un ERP, vous devez obtenir un permis de construire. Ce permis est obligatoire pour tous les travaux de construction, y compris donc pour les ERP. Afin d’obtenir les autorisations administratives associées, vous devez déposer votre demande de permis de construire auprès de la mairie de votre commune. La demande s’accompagne d’un dossier complet comprenant notamment les plans de construction et les études de faisabilité ainsi que toute autre pièce spécifiée dans le formulaire le cas échéant. 2.    L’autorisation préalable (AP) pour les travaux de rénovation   Pour réaliser des travaux de rénovation pour un ERP, vous devez obtenir une autorisation préalable (AP). Cette autorisation est également obligatoire pour les travaux de rénovation qui modifient l’aspect extérieur de l’ERP. La demande d’autorisation préalable se dépose auprès de la mairie de votre commune et doit contenir un dossier complet comprenant notamment les plans de rénovation et les études de faisabilité. 3.    La déclaration préalable (DP) pour les travaux d’enseigne   Si vous souhaitez entreprendre des travaux d’enseigne pour un ERP, vous devez déposer une déclaration préalable (DP). Cette déclaration est obligatoire pour les travaux d’enseigne qui modifient l’aspect extérieur de l’ERP. La déclaration préalable doit être déposée auprès de la mairie de votre commune et être accompagnée d’un dossier complet avec notamment les plans d’enseigne et leur intégration dans l’environnement. 4.    L’autorisation de travaux (AT) pour les travaux de transformation   Les travaux de transformation (dont modification et rénovation) pour un ERP doivent faire l’objet d’une autorisation de travaux (AT). Cette autorisation est obligatoire pour tous les travaux ne nécessitant pas la réalisation d’un permis de construire ou qui modifient la destination de l’ERP (par exemple un lieu de culte devenant un magasin). La demande d’autorisation de travaux doit être déposée auprès de la mairie de votre commune et s’accompagner d’un dossier complet comprenant notamment les plans du projet et les études de faisabilité associées. 5.    Les autorisations pour les travaux de voirie   Si vous envisagez de réaliser des travaux de voirie pour un ERP, vous devez obtenir une autorisation de voirie. Cette autorisation est obligatoire pour les travaux de voirie qui modifient l’aspect de la voirie ou qui peuvent impacter la circulation. La demande d’autorisation de voirie doit être déposée auprès de la mairie de votre commune. La demande doit être accompagnée d’un dossier complet comprenant notamment les plans de voirie et les études de faisabilité le cas échéant. L’ensemble de ces éléments sont disponibles sur le site du gouvernement : https://www.service-public.fr/ La réalisation de ces démarches peut être fastidieuse et détermine si votre projet de construction va se réaliser ou non. Pour cette raison, et afin d’obtenir les autorisations nécessaires le plus rapidement possible, nous ne pouvons que vous conseiller en fonction de l’ampleur des travaux à réaliser de vous faire accompagner par un cabinet de maître d’œuvre comme SEREMAG connaissant les règlementations en vigueur et qui vous indiquera quelles autorisations sont à obtenir pour quels travaux.

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Maître d’œuvre, quels avantages ?

Le choix d’un maître d’œuvre peut faciliter la tâche. Voici quelques-uns des avantages à faire confiance à un maître d’œuvre pour votre projet de magasin : Expertise :  Les maîtres d’œuvre sont des professionnels de la construction qui ont une grande expérience dans la réalisation de projets de construction, de rénovation et de réaménagement. Ils ont une compréhension complète des procédures de construction, des règlements locaux et des codes du bâtiment. Leur expertise peut ainsi vous aider à éviter des erreurs coûteuses et à réaliser un projet qui répond à vos besoins et à vos attentes. Enfin, les maîtres d’œuvre connaissent les coûts des prestations et des matériaux et pourront vous accompagner dans la réalisation de votre budget. Gestion de projet: Le maître d’œuvre est responsable de la gestion de tous les aspects du projet, de la conception initiale à la finition. Ils coordonnent les différents aspects du projet, en pilotant les artisans et partenaires qui interviendront sur le chantier et en faisant l’intermédiaire entre les différentes parties prenantes. Cela vous permet de vous concentrer sur votre entreprise plutôt que sur la gestion des travaux d’agencement et l’aménagement de votre magasin. Qualité & Économies de coûtsEngager un maître d’œuvre peut vous aider à économiser de l’argent à court et long terme. En réalisant un appel d’offre et en validant les éléments techniques correspondant au mieux à votre besoin, ils vous permettent de choisir à prestations équivalentes les offres les mieux disantes.Leurs connaissances techniques vont vous permettre de choisir la meilleure solution technique adaptée à votre besoin. En évitant les solutions surdimensionnées, ils vous permettent une économie à court terme. En évitant le sous dimensionnement des dispositifs mis en place, la solution apportée aura une meilleure durabilité qui évitera des travaux à moyen et long terme et donc vous évitera des coûts futurs. De même leur expertise technique vous garantit une mise en œuvre respectant les règles de l’art qui vous permettra d’éviter les malfaçons. Gain de temps: Engager un maître d’œuvre peut vous aider à gagner du temps. Ils peuvent gérer tous les aspects du projet, y compris les approbations réglementaires et les permis, ce qui vous permet de vous concentrer sur d’autres projets. Ils peuvent également planifier la construction de manière efficace pour minimiser les délais et réduire les temps de fermeture, ce qui peut aider à optimiser votre retour sur investissement. En anticipant les différents aspects du chantier, un maître d’œuvre expérimenté maîtrisera les délais de réalisations des artisans et préviendra tout retard qui risquerait de dégrader votre image auprès de vos clients par un manque de disponibilité de votre magasin. Communication:  Le maître d’œuvre agit en tant que liaison entre vous, les entreprises et différents intervenants. Ils peuvent vous tenir informé de l’avancement du projet, répondre à vos questions et résoudre rapidement tout problème qui pourrait survenir. Cela vous permet de rester informé et de prendre des décisions éclairées tout au long du projet de travaux tous corps d’état. Satisfaction client: En fin de compte, engager un maître d’œuvre peut contribuer à votre satisfaction en garantissant que le projet est terminé à temps, dans les limites du budget et selon les spécifications. Cela peut aider à renforcer la réputation de votre entreprise et à attirer de nouveaux clients à la suite de travaux bien réalisés et maîtrisés.

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Avoir un bon dossier administratif- les étapes clefs

Un dossier administratif les étapes importantes : 1. Identifier les travaux à réaliser Avant de commencer à constituer votre dossier administratif, il est important de savoir exactement quels travaux vous souhaitez réaliser dans votre boulangerie. Il peut s’agir d’une simple rénovation, d’une extension de l’espace de vente ou encore d’une mise aux normes. 2. Vérifier la réglementation en vigueur Une fois que vous avez identifié les travaux à réaliser, il est important de vérifier la réglementation en vigueur. En effet, les travaux dans les établissements recevant du public (ERP) sont soumis à des normes strictes en matière de sécurité. Pour les locaux du secteur alimentaire, des normes d’hygiènes seront à respecter. Il est donc important de s’assurer que les travaux que vous souhaitez réaliser respectent bien le cadre légal. 3. Constituer le dossier administratif Une fois que vous avez vérifié la réglementation en vigueur et leurs applications dans votre projet, vous pouvez commencer à constituer votre dossier administratif. En fonction de vos travaux et des demandes à effectuer, le contenu de votre dossier administratif va varier. Vous retrouverez ci-dessous une liste des éléments les plus courants : Un plan de situation : ce plan doit indiquer l’emplacement de votre futur chantier et les travaux à réaliser. Un plan de masse : ce plan doit indiquer les dimensions de la zone ciblée par les travaux à réaliser. Un plan en coupe : ce plan doit indiquer les différents niveaux de votre chantier, notamment si votre bâtiment comporte plusieurs étages et les travaux à y réaliser. Un plan des façades : ce plan doit indiquer les modifications à apporter aux façades de votre local le cas échéant. Une notice descriptive : cette notice doit décrire les travaux à réaliser et les matériaux et techniques utilisés. Un formulaire de demande de permis de construire ou de déclaration de travaux : ce formulaire doit être rempli et signé. Les pièces justificatives : il s’agit des pièces nécessaires à la constitution de votre dossier administratif. Il peut s’agir par exemple d’un plan cadastral, d’un plan d’architecte, d’un acte de propriété, etc. 4. Déposer le dossier administratif Une fois que vous avez constitué votre dossier administratif, vous devez le déposer auprès de la mairie de votre commune. La mairie vous remettra alors un récépissé de dépôt qui attestera de la prise en compte de votre dossier. 5. Attendre l’autorisation Une fois que vous avez déposé votre dossier administratif, vous devez attendre l’autorisation de la mairie pour commencer les travaux. Cette autorisation peut prendre plusieurs semaines voire plusieurs mois en fonction de la nature des travaux à réaliser et de l’autorisation sollicitée. Conclusion En conclusion, la constitution d’un dossier administratif pour les travaux de votre local peut sembler fastidieuse mais elle est indispensable pour assurer la conformité de vos travaux et éviter tout problème avec les autorités compétentes. N’hésitez pas à faire appel à un architecte ou un professionnel du bâtiment comme un maître d’œuvre qui vous accompagnera dans cette démarche. Grâce à leur connaissance des règlementations en vigueur, ils sauront orienter les travaux pour respecter les contraintes règlementaires et pourront réaliser les démarches administratives adéquate optimisant ainsi vos chances d’obtention des autorisations nécessaires en amont de vos travaux. Pour aller plus loin Les demandes d’autorisations le plus fréquentes dans les ERP sont la Déclaration Préalable (DP), l’Autorisation Préalable (AP), le Permis de Construire (PC), l’Autorisation de Travaux (AT). Consulter nos articles disponibles sur ce Blog à ce sujet pour en savoir plus.

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Avoir le meilleur DCE

Les éléments d’un DCE Ils peuvent varier selon la nature et la complexité du projet, mais voici les principaux éléments que l’on peut y trouver : Le règlement de consultation : document qui fixe les règles à respecter pour la remise de l’offre. Le cahier des charges : document qui décrit les caractéristiques techniques du projet à réaliser, les performances attendues, les normes à respecter, les délais de réalisation, les contraintes, etc. Les plans et les schémas : documents graphiques qui présentent les plans d’ensemble, les plans de détail, les coupes, les élévations, les schémas électriques, etc. Les bordereaux de prix unitaires : documents qui décrivent les prix unitaires de chaque prestation et chaque fourniture nécessaire à la réalisation du projet. Le calendrier des travaux : document qui détaille les phases du projet et les délais à respecter pour chacune. Le contrat de sous-traitance : document qui précise les conditions dans lesquelles le maître d’ouvrage autorise les entreprises à sous-traiter tout ou partie des travaux. Les attestations et les certificats : documents qui attestent que les entreprises sont en règle vis-à-vis de leurs obligations légales, fiscales et sociales. Il est important de noter que les éléments d’un DCE peuvent varier en fonction du type de marché, du secteur d’activité concerné, de la taille du chantier et des exigences du maître d’ouvrage et du maître d’œuvre qui en a la charge. A noter, dans le cadre de marché privé, le maître d’ouvrage est libre sur la manière de consulter les entreprises qu’il fera intervenir. Dans ce cas, le DCE n’est pas obligatoire. La constitution d’un DCE est donc une étape essentielle pour qui souhaite lancer un appel d’offres. Dans cet article, nous allons voir ensemble les différentes étapes à suivre pour constituer un DCE efficace. 1. Définir les besoins La première étape pour constituer un DCE est de bien définir les besoins auquel les intervenants devront répondre. Il s’agit de déterminer les caractéristiques techniques, les quantités, les délais, les conditions de livraison ou encore les critères de sélection des offres. Cette étape est cruciale car elle permet de garantir que le DCE sera pertinent et répondra aux attentes du maître d’ouvrage. Pour cette étape, l’accompagnement par un professionnel du bâtiment qui maîtrise la conception technique du chantier (comme un maître d’œuvre ou un architecte) permettra d’estimer au plus juste le besoin auquel les différents intervenants devront répondre. 2. Choisir la procédure adaptée Le choix de la procédure adaptée est également une étape importante dans la constitution d’un DCE. Il existe plusieurs types de procédures, en fonction notamment du montant du marché public ou de sa nature. Il est donc essentiel de bien choisir la procédure adaptée pour garantir que le DCE sera cohérent avec la procédure choisie. 3. Rédiger le cahier des charges Une fois les besoins et la procédure définis, le maître d’ouvrage doit rédiger le cahier des charges, qui constitue le cœur du DCE. Le cahier des charges doit être clair, précis et complet, et décrire de manière détaillée les prestations attendues. Il est également important d’y inclure les modalités de réponse des entreprises, ainsi que les critères de sélection des offres. 4. Préparer les pièces annexes En plus du cahier des charges, le DCE doit inclure plusieurs pièces annexes, telles que le règlement de consultation, les documents administratifs et financiers, ou encore le modèle d’acte d’engagement. Ces pièces annexes sont indispensables pour garantir la transparence et l’équité de la procédure d’appel d’offres. 5. Diffuser le DCE Une fois le DCE constitué, il est important de le diffuser de la manière la plus efficace et adaptée. Le maître d’ouvrage doit donc choisir les supports de diffusion les plus adaptés (plateforme de dématérialisation, site internet, presse spécialisée, etc.) pour toucher un maximum d’entreprises intéressées. En fonction de la taille du chantier concerné, et du type de marché, la consultation d’un certain nombre d’entreprises en direct en s’appuyant sur le DCE peut suffire. Conclusion Le DCE permet de sélectionner les artisans les plus à même de répondre au besoin tel qu’il y est défini d’où l’importance de sa bonne rédaction. Il est important de souligner que la constitution d’un DCE doit respecter les principes fondamentaux de la commande publique, à savoir la transparence, l’égalité de traitement des entreprises, la libre concurrence et la non-discrimination. Tout maître d’ouvrage doit donc veiller à ce que la procédure d’appel d’offres soit équitable et respecte les règles en vigueur. Dans le cadre de marché privé, le DCE n’est pas obligatoire mais garantira une communication exhaustive des informations nécessaires aux prestations des différents intervenants.

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